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Protection Sociale

Klesia et l’OCIRP lancent une nouvelle garantie « Protection Maladies redoutées »

En France, ce sont aujourd’hui près de 10,5 millions de personnes qui souffrent d’une Affection Longue Durée (ALD), soit deux fois plus qu’il y a 20 ans. La gravité et/ou le caractère chronique de ces affections nécessitent un traitement prolongé et une thérapeutique particulièrement coûteuse.

C’est la raison pour laquelle ces ALD sont considérées comme des maladies « redoutées » par les Français. Fort de ce constat, le groupe de protection sociale Klesia et l’union d’institutions de prévoyance OCIRP ont souhaité développer une offre pour mieux accompagner les salariés tout en leur permettant d’être sécurisés sur le plan financier. Cette nouvelle offre « Protection Maladies Redoutées » sera proposée dans un premier temps aux salariés de la branche transport, avant de s’ouvrir en 2021 à la branche Pharmacies d’officines et aux PME en interpro.
 
Un nouveau produit dédié aux Affections Longue Durée (ALD)

Afin de répondre aux attentes des salariés – près d’un salarié sur 6 est aujourd’hui concerné par une ALD – Klesia et l’OCIRP ont développé le nouveau produit sur mesure « Protection Maladies redoutées ». Cette nouvelle offre proposera un accompagnement inédit et innovant aux clients d’un contrat de prévoyance du Groupe Klesia.

Les deux acteurs ont choisi de baser la définition de « Maladie redoutée » sur la définition d’une ALD, telle que décrite par l’Assurance maladie, à savoir : affection dont la gravité et/ou le caractère chronique nécessite un traitement prolongé et une thérapeutique coûteuse, pour laquelle le ticket modérateur est supprimé.

Ce nouveau contrat complémentaire prévoit de couvrir, en fonction du niveau de garantie choisi, une ou plusieurs ALD survenues en cours de contrat –, et ce, sans aucun délai d’attente.

Ce sont les salariés de la branche transport, ayant souscrit un contrat de prévoyance du Groupe Klesia, qui pourront bénéficier dans un premier temps de cette offre. En 2021, l’offre sera élargie aux salariés de la branche Pharmacies d’officines, puis aux PME en interpro.
 
Un accompagnement coordonné à chaque étape de la maladie

La garantie inclut le versement d’un capital et propose un large dispositif d’accompagnement pendant le développement de la pathologie et après la rémission. En cas de sinistres éligibles, les deux parties-prenantes, Klesia et l’OCIRP, proposeront des prestations sur mesure.

Les salariés – qui aujourd’hui s’estiment à 49 % mal informés lors du premier diagnostic – pourront bénéficier d’un accompagnement médico-social personnalisé, de l’annonce de la maladie jusqu’à la convalescence (organisation du quotidien, accompagnement thérapeutique, coaching, coordination des soins, aide au suivi médical, aide au retour à l’emploi …).

Parallèlement, et en fonction du niveau de garantie choisie par l’employeur, le salarié se verra verser un capital lui permettant de couvrir des frais non pris en charge par l’Assurance maladie, notamment l’adaptation éventuelle de son logement et/ou l’achat de matériel médical.

Ce capital, qui peut varier de 5 000 à 10 000 euros, pourra également être utilisé pour rembourser un éventuel prêt ou faire face aux nouvelles dépenses liées à la maladie -les dépenses santé d’une personne en ALD sont aujourd’hui estimées à 7 fois supérieures à celles d’un autre assuré-.
 
Une prise en charge d’ALD conforme aux attentes des salariés

Les maladies couvertes dans ce nouveau contrat complémentaire pourront être de différentes natures, et ont été définies conformément aux attentes et aux besoins exprimés par les salariés.

Le contrat pourra couvrir, selon l’option choisie par l’employeur : les cancers – les cancers et les accidents vasculaires cérébraux (AVC) – les cancers, les accidents vasculaires cérébraux (AVC) ainsi que quatre autres maladies (les maladies coronaires, les insuffisances rénales, les greffes et la sclérose en plaque).

En effet, 83% des ALD se concentrent aujourd’hui sur cinq maladies principales : tumeurs malignes, diabète, affections psychiatriques, affections coronaires et insuffisance cardiaque.

En interrogeant les Français sur les maladies qu’ils redoutent le plus, un sondage Statista révèle que 86% évoquent un cancer, 49 % une maladie cardio-vasculaire, 25 % la sclérose en plaque et 8 % l’hypertension.

Source communiqué de presse Klesia – OCIRP du 30 septembre 2020

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